Défricher les terres et cultiver des plantes fourragères
Supervisée par le département d’agriculture, d’artisanat et de protection de l’environnement, cette opération se déroule sous la houlette de l’Asosyason Soley Pou Ayiti, à Michineau, petit village près de Jacmel, difficilement accessible par la route. L’objectif est de former et d’informer les paysans sur la manière de mieux cultiver la terre pour un développement économique croissant, ainsi que de leur fournir des semences et des outils. Débutée au courant du premier trimestre 2011 par les rencontres avec les autorités locales, puis par l’achat et l’acheminement du matériel, elle s’est traduite début mai par l’embauche de 40 paysans, 1 agronome, 1 chef d’équipe, 1 chef de projet et 1 cuisinière pour 10 jours de travail intensif: défricher 2 hectares de terres et planter de la canne à sucre et les plantes fourragères. Après 8 à 10 mois de patience nécessaires aux cultures pour pousser, la récolte, prévue au premier trimestre 2012, sera le fruit de la communauté des paysans. Ils en garderont une partie pour leur bétail, l’autre partie sera revendue et le profit réinvesti.Soleil pour Haïti envisage de continuer à financer cette opération en augmentant la surface à cultiver.
Défricher les terres et cultiver des plantes fourragères
Supervisée par le département d’agriculture, d’artisanat et de protection de l’environnement, cette opération se déroule sous la houlette de l’Asosyason Soley Pou Ayiti, à Michineau, petit village près de Jacmel, difficilement accessible par la route. L’objectif est de former et d’informer les paysans sur la manière de mieux cultiver la terre pour un développement économique croissant, ainsi que de leur fournir des semences et des outils. Débutée au courant du premier trimestre 2011 par les rencontres avec les autorités locales, puis par l’achat et l’acheminement du matériel, elle s’est traduite début mai par l’embauche de 40 paysans, 1 agronome, 1 chef d’équipe, 1 chef de projet et 1 cuisinière pour 10 jours de travail intensif: défricher 2 hectares de terres et planter de la canne à sucre et les plantes fourragères. Après 8 à 10 mois de patience nécessaires aux cultures pour pousser, la récolte, prévue au premier trimestre 2012, sera le fruit de la communauté des paysans. Ils en garderont une partie pour leur bétail, l’autre partie sera revendue et le profit réinvesti.Soleil pour Haïti envisage de continuer à financer cette opération en augmentant la surface à cultiver.
Lire aussi le témoignage d’Ismaélite Janvier.